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À vous la parole (53 commentaires)

« Rien d’autre que l’essentiel : l’écoute silencieuse de la Parole et la célébration du mystère pascal.
Merci frère Lionel...c'est exactement tout mon carême »

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Pierre André Degallaix - 09 mars 2024 - 23:39

« Une belle semaine Frère Lionel Merci Joie de découvrir les méditations et les commentaires Joie de partager De donner De recevoir Beaucoup de chemins mènent à Dieu Puissions-nous chacun trouver celui qui permettra une meilleure compréhension des textes »

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mahona - 09 mars 2024 - 17:51

« Merci pour cette méditation allant à l'essentiel de l'eucharistie.
Les chemins de St.Jacques parlent... »

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Suzanne - 09 mars 2024 - 10:39

« Que c'est beau d'entendre que les chants et autres qui accompagnent parfois nos célébrations peuvent nous faire oublier l'essentiel du mystère. Merci frère. Que l'Esprit Saint nous vienne en aide. »

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Sourou - 09 mars 2024 - 7:02

« Quelle chance j'ai de pouvoir participer à 'Eucharistie, Merci Jésus de venir jusqu'à moi.... merci Frère »

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claudemarie - 08 mars 2024 - 21:16

« Bonsoir Frère !

"Heureux les invités au repas des noces de l'Agneau"
Quel beau témoignage que vous nous exposez, cheminement profond sur les
routes de Compostelle en célébrant la Sainte Eucharistie dans le silence, en pleine nature, peut-être entouré d'oiseaux et de papillons.... à l'image de la naissance de Jésus, tout est merveille, accueillir le Seigneur au plus profond de soi.
Bonne montée pascale ! »

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Cyprien - 08 mars 2024 - 21:07

« Quelle merveille pour moi votre méditation frère Lionel !
J'ai eu la joie d'assister à la messe chaque jour dans un petit oratoire.
Parfois nous étions 5 à 6 personnes et un jour je me suis retrouvée seule avec le prêtre. Quelle joie de vivre vraiment en union cette célébration. J'en ai fait comme souvent la lecture, puis un chant à la Vierge Marie, les répons et recevoir le corps du Christ ainsi, je ne l'ai pas ressenti ainsi depuis. C'était vraiment le Christ présent par le prêtre. Un moment que je n'oublierai jamais ! Merci frère Lionel pour toutes vos méditations qui m'ont parlé tout au long de cette semaine. Que Dieu vous bénisse !! »

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monette - 08 mars 2024 - 20:38

« Je me trouve un peu "page blanche" devant cela.
Il est vrai que les grandes cérémonies avec faste, orgues et chants en latin dans les basiliques génèrent le risque de masquer le contenu par rapport à la forme employée.

Mais être content de faire une messe seul, excusez moi, désolé d'écrire sincèrement mon point de vue, je ne peux l'accepter.
Pour moi c'est un échec.
Dieu est présent si on est au moins deux, ne l'a-t-il pas dit ?
Pour moi vous avez besoin de chercher Dieu dans les autres.
Excusez moi si je vous ai heurté, je l'ai dit dans la seule idée de vous venir en aide.
Merci pour vos commentaires intéressants de cette semaine. »

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Vincent59500 - 08 mars 2024 - 19:18

« Vincent, je vous trouve extrêmement dur avec Frère Lionel ! Toute cette semaine, il nous a proposé des méditations remarquables ! Pourquoi tenez vous absolument à lui venir en aide ? Il n'en a, je pense, nul besoin... Et pourquoi parlez vous d'échec ? Même seul, Dieu est toujours présent, puisqu'il demeure dans notre cœur. Et célébrer la messe en pleine nature, au milieu des oiseaux, des papillons et des animaux, n'est-ce pas tout simplement célébrer la Création ? Je vous engage chaleureusement à réécouter ou relire cette méditation avec un cœur plus ouvert. »

Patrick - 08 mars 2024 - 22:52

« Vous évoquez des messes fastueuse avec chants en latin et orgue. Permettez moi de vous dire en souriant tristement qu'il s'agit généralement de chants assez ratés dits de L'Emmanuel, ratés sur le plan musical et dont les textes sentimentaux sont peu nourrissants ! Oui, il vaut mieux remplacer ces âneries par du silence ! »

Kauffmann Jacques - 08 mars 2024 - 23:33

« Il est vrai, qu'une Messe qui se prolonge en "grandes pompes", a de quoi lasser : Musique classique , Chorale digne de l'Opéra et sans parler de ces homélies interminables , vite oubliées, sitôt, sur le parvis .... et j'ajoute "Grâce à Dieu". !!!J'écoutais, récemment , "Guy Gilbert" sur Youtube ..... Une Homélie sur la "Miséricorde ". Certes, des mots sonnants et trébuchants ; "C'est un cabotin", ce Cher Curé, mais le résultat est
acquis : personne ne peut oublier une semblable homélie ! Le "Blabla " ce n'est pas son "truc", mais le sens profond est incontestable : "Essentiel"( c'est ce qui importe ! )

Il y a quelques années, notre fils, alors jeune médecin militaire ,était en mission, avec ses camarades, au Coeur de l'Islam ..... Bien entendu, un Aumônier accompagne, toujours, ses compagnons. L'Aumônier avait interdiction de célébrer l'Eucharistie..... Pourtant, ce prêtre a passé outre .... Un Autel improvisé, pas la foule des grands jours , mais la Foi immense de quelques uns . Une des plus belles célébrations, , sans fioritures, sans blabla ..... mais tous unis dans une "seule et même église" en Terre inconnue !
Notre fils, est toujours médecin, mais civil : Il n'oubliera jamais !!!

Bien Fraternellement . »

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J.c - 08 mars 2024 - 16:53

« Beau souvenir de mission en terre étrangère Ce Padre a pris le risque de sa foi Merci de nous l'avoir partagé Bien à vous »

mahona - 08 mars 2024 - 18:19

« Merci J.c pour ton partage, oui c'est l'essentiel qui reste. Pas besoin de grandes orgues. Je comprends que ton fils n'ait pas oublié ce moment. »

monette - 08 mars 2024 - 20:23

« J'espère que le seigneur saura me pardonner de mes erreurs soulager mes souffrances et me donner joie. J'y crois. J'espère. 🙏
A la messe je suis petite. Mais je fais grandir ma foi. »

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Christine - 08 mars 2024 - 16:48

« depuis le concile après la communion il y a un temps de silence de même après l'homélie mais pas toujours respecté dommage ! car au cours de la messe il y a un temps pour tout ,de joie pour exprimer notre merci mais j'apprécie et souhaite les temps de silence de prière personnelle C est comme dans nos vie il y a un temps pour semer un temps pour récolter un temps pour se reposer »

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jari - 08 mars 2024 - 16:11

« L’écrin, quelle en est la valeur ?
Chants, procession, encens, des accessoires

Lorsque nous initiions nous jeunes à l’eucharistie, le prêtre leur disait que lorsqu’il revêtait l’aube, sa personne disparaissait (ce qui est physiquement vrai) pour faire symboliquement place à la personne du Christ, c’est sa Parole qu’il annonce, son repas auquel il nous permet de participer ; le blanc de l’aube est la couleur des messagers du matin de Pâques ; l’étole le symbole de la prêtrise, la chasuble parle du Christ-Roi…
Marcher en procession derrière la croix c’est proclamer à l’assemblée notre désir de marcher à la suite de Jésus et de vivre selon sa Parole même quand c’est difficile.
Chanter c’est prier deux fois quand on pense à ce qu’on chante.
S’incliner devant l’autel c’est dire avec notre corps que nous saluons Dieu avec révérence…
L’encens j’en ai déjà parlé.
Chacun des gestes à l’autel est porteur d’un message tout comme ceux de la vie de tous les jours. Certains ne voient dans le lavement des mains qu’une réminiscence des mains salies par l’offrande des fidèles. Libre à eux de penser ainsi. J’ai affirmé à mes élèves l’attitude intérieure suggérée par la prière du prêtre qui est à l’inverse de la parole de Pilate : « Je suis innocent du sang de ce juste. » Avec le prêtre, nous demandons à Dieu de nous pardonner nos péchés.
Mettre de l’eau dans le vin signe visible de l’Alliance éternelle, (à la vie à la mort et pour toujours) impossible de séparer l’eau du vin…
»

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Anita - 08 mars 2024 - 16:07

« Les couleurs liturgiques révèlent le temps festifs, de pénitence, d’espérance…

Tout cela après avoir évidemment intégré l’essentiel dont vous avez fort bien souligné la profondeur. J’ai assisté à la messe en privé, le prêtre en T shirt et étole avec tranche de pain… c’était vraiment priant et en communion avec Dieu…. »

Anita - 08 mars 2024 - 16:24

« Notre société laïque a ses fêtes nationales, notre famille celle des 25e, 50e, 60e, 65e de mariage, celles plus modestes des anniversaires de naissance, et aussi les bons repas au restaurant ou à la maison avec quelques amis.

Ainsi en est-il avec notre vie de foi. J’ai découvert, enfant, les 1ers sacrements, la messe dominicale, la solennité de Noël et Pâques, les funérailles, les mariages ; adulte, la solennité de la messe chrismale, celle d’une ordination sacerdotale, épiscopale ; et aussi la messe en privé, à la maison.

Il y a un temps pour tout sous Le Soleil. Notre Dieu aime fêter autant que nous. Il a souhaité ses sept fêtes solennelle à son peuple et nous avons les nôtres auxquelles Jésus nous a convié.
»

Anita - 08 mars 2024 - 16:48

« C'est la journée des femmes aujourd'hui.
Espérons qu'elles aient plus de place au sein de l'église ! »

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Christine - 08 mars 2024 - 14:49

« 👧 »

Christine - 08 mars 2024 - 14:51

« Elles étaient là comme des colonnes, des piliers dans la maison du Seigneur à tous les soirs avant la messe récitant leur chapelet, jour après jour, pendant le mois du rosaire et le mois de Marie. Après Vatican II, l’Église a voulu RECTIFIER LEUR DÉVOTION « biaisée » de multiples façons. Notre curé, obéissant avait sorti de l’église la statue de sainte Anne et celle du Sacré-Coeur de Jésus. Il avait déposé les Saintes Espèces dans le tabernacle latéral. Et nos petites vieilles de protester. : « Monsieur le curé, vous n’y pensez pas ! Mettre le bon Dieu sous les pieds de la Sainte Vierge, il est bien plus important qu’elle. Vous allez nous le remettre au maître autel… ». Et notre bon curé de respecter leur foi s’est exécuté… la statue de la Vierge est restée à sa place, le Seigneur est retourné au tabernacle du maître autel et le Sacré-Coeur et Sainte Anne sont revenus. Rien ne me peine le plus que lorsque l’on affirme que cette génération et la mienne ne comprenait rien à la messe. C’est faux pour ceux qui avaient été correctement initiés et accompagnés. Qui était là jusqu’à minuit en adoration le Jeudi Saint ? Le groupe de nos petites vieilles.
Enfant, et adolescente, je vivais ma foi dans la joie et la confiance et je suis tombée des nues la première fois que l’on a accusé mes parents et mes éducateurs de nous avoir parlé d’un Dieu vengeur et punisseur. Pour moi, ils mentaient jusqu’au jour où j’ai réalisé que tous n’avaient pas reçu la même éducation chrétienne. »

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Anita - 08 mars 2024 - 14:37

« non tout n'était pas mieux avant !!!voir et entendre dans notre langue maternelle aide a comprendre lire la parole de Jésus est une merveille la méditer Non nos parents ne comprenaient pas tout et ne voyais rien mais ils disaient le chapelet (les femmes) surtout les hommes étaient dans le fond de l'église mais cela n'a pas empèché à leur exemple de nous avoir transmis la foi le respect des autres, du travail ,et des valeurs ne sont telle scelle de l'évangile J'ai fais le caté pendant 50 ans il y a eu plusieurs méthode celle que je retiens c'est celle ou l'on gestue les prière les textes d'évangile le corps participe nous ne pourrions pas faire rester 1 heures les enfants a écouter la messe en latin soyons réaliste vive la liturgie dans ma langue maternelle j'aime voir mais j'aime aussi fermer les yeux »

janri - 08 mars 2024 - 16:33

« Bonjour janri,
Je n’ai pas dit que c’était mieux avant, j’ai simplement raconté ce que vivaient les personnes âgées de ma paroisse au moment de Vatican II. Ma mère et ses amies savaient lire et écrire et connaissaient leur religion bien mieux que bien des jeunes en 2024. Elles en avaient la traduction dans leur livre de messe comme moi. Si j’ai bien compris les parents de votre paroisse n’avaient pas cette formation et ne comprenaient rien à la messe mais vous ont transmis la foi et leurs valeurs chrétiennes. Je vois que nous avons une expérience totalement différente vous et moi comme éducation chrétienne reçue sur la messe. Nous avons droit l’un et l’autre à la véracité de cette expérience.

J’ai été catéchète en paroisse ; et professeur en enseignement moral et religieux catholique de 1975 à 2008, j’ai initié mes élèves aux premiers sacrements. Je préparais avec et pour eux, en classe, une messe par année.
Elle a été vécue avec intérêt et participation. Les célébrations de leurs sacrements d’initiation à la cathédrale à été faite avec ordre, discipline, priantes et chantantes. Je connais la valeur de la gestuelle et j’ai fait récitatifs bibliques, prières et chants gestués avec eux et aussi la méditation silencieuse.
2024, les enfants sont absents à la messe dominicale. Nos prêtres sont africains, indiens, libanais, haïtiens… Dans mon enfance, à 8.30h., à la messe des enfants, l’église était pleine et priante. Les causes de cet état de fait ne se réduit pas à la langue »

Anita - 08 mars 2024 - 18:23

« À cela j’ajoute que j’ai adopté sans difficulté la messe en français et que mon point n’était certainement pas de susciter une polémique sur l’opportunité ou la supériorité du français ou du latin. J’en ai juste assez de me faire dire que ma génération et celle de mes parents ne comprenaient rien à la messe, alors que c’est faux, et que nous n’avions pas de spiritualité mais que de la pratique d’obligation et que l’éducation religieuse que j’ai reçue est à remettre en question parce qu’elle était une religion de domination, de peur, d’un Dieu juge, punisseur et vengeur ce qui est aux antipodes de ce que j’ai reçu. Je ne suis pas seule à en avoir assez. Pas de ma faute si d’autres l’ont reçue ou vécue autrement.
Ceci dit, j’apprécie tous les commentaires de ce site. Je suis heureuse de voir que la foi existe encore sur cette terre.
»

Anita - 08 mars 2024 - 21:12

« « Rien (ou presque) ne se donnait à voir ; tout se donnait à goûter. »
Et c’est bien cela que je crève d’envie parfois de recommencer/retrouver : goûter tout ce qui est donné au-delà de toutes les apparences, de toutes les intentions, goûter ce qui se donne par, avec et en tout cet environnement quel qu’il soit.
Mais je crève de peur aussi de ne pas « atteindre » cette cible, de m’assommer à cette barre à hauteur de ma tête et de m’écorcher les genoux en tombant encore une fois, le cœur transpercé par une flèche, peut-être directement sortie de mon carquois de sentiments divers et variés… »

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Isabelle - 08 mars 2024 - 13:55

« Merci cher frère Lionel de m'avoir fait cheminer sur les chemins de St Jacques.
Pour moi les moments les plus forts , la participation de l'Eucharistie dans la nature, au bord de mer lors de retraite silencieuse en marchant.
Belle montée vers Pâques. »

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Joëlle - 08 mars 2024 - 13:11

« Merci, Frère Lionel, pour ce témoignage tellement émouvant.
Pour moi, la messe, c'est un moment de Ciel que je m'offrais sur la Terre, que ce soit lors d'une messe matinale au Carmel, ou lors de grandes célébrations à la cathédrale, célébrations que je rapprochais de la grande liturgie au trône de l'Apocalypse.
J'aimais aussi les messes en plein air. A ces messes, j'étais en direct avec le ciel.
Maintenant c'est la messe télévisée, mais j'y vis aussi de grands moments. »

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Geneviève - 08 mars 2024 - 13:05

« Ce que je veux dire par "grandes célébrations", ce sont les célébrations avec une centaine de prêts dans le choeur, comme lors des ordinations. »

Geneviève - 08 mars 2024 - 15:47

« Merci frère Lionel pour cette magnifique semaine.
Je suis tout à fait d'accord avec le fait qu'il faut pas trop 'de chichi ) dans une messe sinon on se disperse et on ne peut vivre l'essentiel . Je trouve aussi très dommage de vouloir souvent chanter le notre père, il y a plus de participation quand les fidèles le prie. De même lorsqu'il y a un chant ou une musique à l'offertoire.
Quand nous étions jeunes il y avait une messe basse à 8h le dimanche matin, il y avait toujours du monde.
Bonne journée à tous et bonne montée vers Pâques »

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Blandine - 08 mars 2024 - 12:44

« Merci pour cette belle méditation sur le "dépouillement" de la célébration de l'Eucharistie; cela me fait penser à un soir de jeudi saint où le prêtre avait remplacé l'hostie "classique" par du pain; déjà pendant la communion, le tumulte de la contestation montait, les paroissiens quittaient l'église, les uns après les autres, scandalisés, outrés, écœurés de ce qu'ils venaient de voir (ce sont leurs mots) ; lors du temps d'adoration eucharistique proposé juste après la messe, nous étions 3 assis sur un tapis: une religieuse, lui et moi... Dans ce côte à côte avec Jésus présent de ce modeste "morceau de pain" (que l'on pourrait qualifier de quotidien) devenu Corps du Christ et simplement posé sur l'autel latéral, j'ai vécu le plus beau face-à-face, cœur-à-cœur d'une intensité indicible avec Celui qui vient partager notre fragilité; cela à duré près de 2 heures 30... Quelle paix; quelle joie intérieure intense, quelle Communion... Il n'y avait pourtant que Lui et nous 3, modestes paroissiens fragiles (et, qui plus est, fragilisés par les tensions ambiantes dans lesquelles s'est déroulée la fin de la messe) isolés dans une petite église de village désertifiée, dépouillée de tout artifice, de toute scénographie, de tout "flonflon", sa divinité venant "tout simplement" à la rencontre de notre humanité... Quelle Grâce! Je garde ce souvenir en mon for intérieur comme une perle précieuse, un instant unique hors du temps et de l'espace vécu intensément une seule fois dans ma vie... »

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Laurent - 08 mars 2024 - 12:38

« non tout n'était pas mieux avant !!!voir et entendre dans notre langue maternelle aide a comprendre lire la parole de Jésus est une merveille la méditer Non nos parents ne comprenaient pas tout et ne voyais rien mais ils disaient le chapelet (les femmes) surtout les hommes étaient dans le fond de l'église mais cela n'a pas empèché à leur exemple de nous avoir transmis la foi le respect des autres, du travail ,et des valeurs ne sont telle scelle de l'évangile J'ai fais le caté pendant 50 ans il y a eu plusieurs méthode celle que je retiens c'est celle ou l'on gestue les prière les textes d'évangile le corps participe nous ne pourrions pas faire rester 1 heures les enfants a écouter la messe en latin soyons réaliste vive la liturgie dans ma langue maternelle j'aime voir mais j'aime aussi fermer les yeux »

janri - 08 mars 2024 - 16:36

« Bonjour janri,
Mieux avant ? Là n’est pas la question. Les gens ont droit à leurs réactions et à leurs convictions. Dans le respect de celles des autres évidemment, il n’est ni question de supériorité, ni d’infériorité. Nous savons tous que Jésus est présent sous la plus petite parcelle discernable du pain consacré. Une tranche de pain fait des miettes de même que le pain pita. Vous y croyez ou pas. Ces paroissiens se sont sans doute retirés à cause des profanations involontaires possibles. Je ne juge pas le prêtre, qui a voulu toucher droit au coeur, ni l’assistance. J’ai participé à une messe avec une tranche de pain, le prêtre en T shirt avec une étole. Je connais. Mais c’était un tout petit groupe, il était possible de faire le nécessaire.
Cher Laurent, je sais la haute expérience spirituelle de la présence du Seigneur dont il vous a gratifié ce soir-là. Il vous a confirmé sa présence et je l’en remercie infiniment.
Témoignage : Un jour, le prêtre a omis l’épiclèse, je ne sentais plus la présence, vide complet… désorientée, j’en ai parlé à notre animateur spirituel de fraternité dominicaine. Il m’a répondu que l’épiclèse est l’une des parties essentielle de la messe. N’est-ce pas l’Esprit qui a couvert Marie de son Ombre le jour de l’Annonciation?
Dans l’Église romaine les paroles de consécration sont celles de la Cène, chez les orthodoxes à l’épiclèse. Nous aurions avantage à respirer avec nos deux poumons. »

Anita - 08 mars 2024 - 22:42

« merci pour tous ces temoignages . Person,nellement j'ai du mal à me concentrer à la messe avec son environnement visuel et sonore
j'aime beaucoup etre seul dans une eglise, assis ,et mediter . C'est triste de voir les eglises desertées .alors qu'Il a tant fait pour les hommes , les sauver!!

serge »

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serge - 08 mars 2024 - 12:32

« MERCI FRÈRE LIONEL DE M'AVOIR FAIT CHEMINER AVEC VOUS SUR LE CHEMIN DE st JACQUES DE COMPOSTELLE, ALORS QUE JE NE PEUX PLUS SORTIR SEULE.ET ME RENDRE à MA PAROISSE. DONC DE NE PAS POUVOIR PARTAGER CE MOMENT SUBLIME DE LA COMMUNION.
TOUS LES 15 JOURS UNE PERSONNE M"A PORTE LA COMMUNION QUELLE JOIE CE DIMANCHE Là. JE CHEMINERAI AINSI JUSQU’À PÂQUES
PRIONS POUR QUE PLUS DE PERSONNES SE DÉVOUENT ET PENSENT QU'IL Y A DEVANT LEUR ECRAN QUELQU'UN QUI PARTAGE CETTE MESSE. »

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MADDALENA - 08 mars 2024 - 12:06

« Merci frère pour cette méditation qui me remue tant.
Un morceau de pain,quelques gouttes de vin,le silence ,une page d’Évangile et nous voici au cœur de l’essentiel : le sacrifice de Jésus Christ pour nous,la présence de Dieu venu visiter ses créatures pour Se faire connaître . Loin de tous ce blabla de certaines messes dominicales avec toutes ces fioritures que sont encens, capeline,rites désuets par moment ou latin même si certaines cérémonies peuvent être sublimes. »

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BrigitteG - 08 mars 2024 - 11:37

« Émotion ce matin en ressentant votre Amour pour Dieu. Pas de Blabla pas de flat flat mais une immense Sincérité.
Merci🕊️ »

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Agnès - 08 mars 2024 - 10:50

« Merci frère Lionel de cette semaine de partage. Moi qui rêve de faire le chemin de Compostelle et sens que ce ne sera pas dans cette vie terrestre. Vous me donnez du rêve. 🙏🙏 »

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Monique - 08 mars 2024 - 10:27

« Merci Frère Lionel de nous permettre de cheminer avec vous sur le Chemin... Je suis particulièrement touchée par ce que vous dites aujourd'hui moi qui ai tant de mal à aller à la messe dans ma paroisse, dérangée dans mon recueillement par les chants trop souvent "insipides" et faux. J'aime le silence et la contemplation et demande pardon pour ces pensées fort peu charitables. Allez de la peine à la Joie c'est aussi vous me permettez de le comprendre dépasser la peine quoi qu'il en coûte. »

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Françoise - 08 mars 2024 - 10:18

« Quelle joie si j’avais pu vous rencontrer un de ces dimanches durant mes périples sur les chemins français ! Une messe en privé en pleine nature, quel bonheur ! Même en co-voiturage, c’est de plus en plus difficile de trouver une église… En Italie heureusement, je n’ai rencontré le problème qu’une seule fois.
Merci, pour le témoignage de votre expérience, ça me rappelle bien des souvenirs magnifiques. »

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Talig - 08 mars 2024 - 10:14

« Frère Lionel qiuand vous dites ,une belle liturgie pour faire naître une joie intérieure, absente presque 3 semaines ,je participais à la messe du dimanche et dès le chant d'entrée je me retrouvais avec ma famille, la famille de Dieu. Dieu était là comme un père veillant sur ses enfants. Ce fut une joie intérieure qui nourrit ma foi. Merci pour vos commentaires qui donne de l'importance à nos petites actions et qui nous encourage à aller de l'avant . Dieu nous attend et viens à notre secours. »

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Maite - 08 mars 2024 - 10:04

« Merci, Frère Lionel, pour votre méditation de fin de semaine, sur la faculté à se dépouiller pour mieux vivre avec l'Essentiel.
Vous dites : "Rien (ou presque) ne se donnait à voir ; tout se donnait à goûter".
Combien tous nos sens ont un sens !

Je rapproche vos mots d'un chant que j'aime beaucoup :
Regardez l'humilité de Dieu
https://www.youtube.com/watch?v=ayAS_SkUD0c
.
Admirable grandeur
Étonnante bonté
Du maître de l'univers
Qui s'humilie pour nous
Au point de se cacher
Dans une petite hostie de pain

Regardez l'humilité de Dieu
Regardez l'humilité de Dieu
Regardez l'humilité de Dieu
Et faites-lui hommage de vos cœurs

Faites-vous tout petits
Vous aussi devant Dieu
Pour être élevés par lui
Ne gardez rien pour vous
Offrez-vous tout entier
À ce Dieu qui se donne à vous

Bien fraternellement et belle route vers Pâques à chacun et chacune

»

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Isabelle R. - 08 mars 2024 - 9:30

« Bonjour à tous.
Vous parler d'une messe où vous célébrer seul et vous dites que c'est beau. Vous avez raison.
J'aime bien rentrer dans une Église et être seul: c'est un tête à tête avec Dieu.
J'écoute ensuite les vêpres, c'est aussi très beau. Qu'elles sont belles les prières, en particulier les psaumes.
Bon carême. »

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Christophe - 08 mars 2024 - 9:25

« Merci Frère Lionel.
Joie dans nos cœurs. A la messe je prie je chante j'écoute et je reçois. Dans le silence. Le partage. Pas de bla bla. Et à la communion je vis. Je repars apaisée force et les mots me reviennent. Pendant la journée je continue de prier. Les mots qui me sont dis. Pas de bla bla qui me gêne. Juste des mots justes qui vont en mon cœur. Merci seigneur de m'aider à vivre à croire et espérer.
»

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Christine - 08 mars 2024 - 7:32

« Merci pour ces lignes et’le partage simple de e qui est goutevet partagé...Le regard et la parole sur et de ant ce presque rien entre nos’mains....salut fraternel depuis alger....désert habite.... »

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Roland - 08 mars 2024 - 6:31

« Merci frère Lionel pour la méditation de ce vendredi.
Bel écrin ou bien simple écrin...
La présence de notre Seigneur est dans notre cœur, notre foi.
La méditation de ce jour nous rappelle cet essentiel.
Que notre Seigneur nous bénisse.

»

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Vincent - 08 mars 2024 - 6:29

« Les méditations de cette semaine m‘ont particulièrement touché, merci. »

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Valérie - 08 mars 2024 - 5:47

« "une autre joie, secrètement plantée".! Que c'est juste ! Et cette joie, est comme une tente ("plantée"), un "tabernacle" qui est le signe de Dieu dans notre intime ! Philippe. »

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philippe - 08 mars 2024 - 5:44

« Frère,
Vous nous révélez la messe priée, vécue d’un bout à l’autre en accueil et don total de votre personne à Jésus, au Père, une confidence que j’entends avec grande reconnaissance. Vous touchez à l’essentiel. Toute personne ayant assisté à ces messes aurait sans aucun doute réagi à la façon de ma jeune sœur qui m’a dit, voyant Daniel Ange célébrer : « Une messe comme ça j’irais à tous les dimanches. » Il ne lisait pas des prières, il priait et son attitude d’adoration intérieure rendait sensible la présence de Dieu.

Inviter nos animateurs de chants et nos choristes à prier leurs chants, à chanter en s’adressant à Dieu …
Et les lecteurs, ton neutre, monotone, le même ton, que ce soit une prophétie ou une lettre… et l’on lit pour soi et l’on ne proclame pas… s’adresse-on à la foule, à des personnes concrètes?
Ce n’est qu’après des dizaines d’années de christianisme que j’ai appris que lorsque l’on encense le prêtre, les servants et ensuite la foule, c’est pour saluer la présence de Dieu en nous et que nos frères orthodoxes s’inclinent alors en signe de reconnaissance de cette habitation de l’Esprit de Dieu en eux, geste équivalant du mot « Amen! » « Oui, je suis d’accord, je reconnais la présence de l’Esprit de Dieu en moi…. »
Merci, à vous et vos frères et sœurs en saint Dominique, puisse le Seigneur vous combler de ses grâces et ses bienfaits. Vous semez au jardin de l’Infini mais pour tout grain de blé semé au temps donné se lèveront pour l’éternité, mille épis dorés. »

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Anita - 08 mars 2024 - 5:32

« Je vous avoue que c’est depuis que je me mets en présence de Dieu dès avant le début de la messe, comme dans mon enfance, que la messe me nourrit.
Il fut un temps, il y avait trois types de célébrations dans ma paroisse. Et je reconnais qu’elles rejoignaient toutes différents besoins ou types de personnalités. Les introvertis qui ont besoin de silence pour se recueillir avaient une messe à 9 heures, le dimanche matin. Mon père qui était attaché au grégorien y allait à 11 heures. Quant à ceux qui appréciaient la polyphonie, ils allaient à celle du samedi soir. Les dominicains à quelques coins de rues, utilisaient les chants du Prions en Église. Les extravertis avaient leur célébration chez eux. Ça chante. Tous chantent. Depuis l’an 2,000 nos nouveaux curés ont rallié le type de célébration des dominicains mais ça ne chante toujours que très peu. J’y ai goûté lorsqu’on m’a demandé d’animer les messes de première communion. Nil, rien…
Je suis tombée des nues lorsque j’ai participé au Congrès charismatique des Haïtiens, j’ai apprécié, c’était vraiment festif. On fêtait le Seigneur. Lorsque j’ai partagé mon étonnement avec notre vicaire épiscopal, il m’a dit : « Mettez ces gens dans votre paroisse et vous videz votre église. »
C’est lors du cours MBTI Myers-Briggs, suivi chez les dominicains que j’ai pris conscience de ce phénomène. Bon courage, à chacun de mettre de l’eau dans son vin. »

Anita - 08 mars 2024 - 6:48

« « Heureux les invités au repas des noces de l’Agneau. »
Merci pour cette méditation
J'aime et j'apprécie plus que tout , lorsque la messe est célébrée dans un grand dépouillement , sans fanfare, ni trompette , sans chorale , ni instruments de musique et surtout sans un chantre qui parce qu'il a une belle voix domine tout , si bien , que le peuple ne chante pas , on l'écoute , je ne vais pas à un concert.
C'est bien dans le plus grand dépouillement que nous sommes invités et sans aucune exclusion au repas des noces de l'agneau.
Comme le chantait si bien Georges Brassens, j'entends déjà au loin les commentaires
»

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Jean Michel-Léon - 08 mars 2024 - 4:06

« Quand le chantre a une belle voix ça ne gâche rien et ça aide à prier, même le prêtre, en priant avec lui et en entraînant les autres dans cet élan de prière.
Le chantre ne se donne pas en spectacle, même quand il a une belle voix. Il est au service de la prière de la communauté en priant lui-même, au service de ceux qui préparent ce rendez-vous du dimanche ou d’un autre jour.
Il n’est pas forcément un professionnel de ce « job » et a parfois appris sur le tas, même s’il peut avoir une petite ou grande connaissance/formation musicale. Il a pris parfois beaucoup sur lui-même et de lui-même pour accomplir cette tâche et ne demande pas d'éloges mais aimerait bien qu’on ne le piétine pas, lui, et ce qu’il essaie ou a essayé de faire pour le bien de tous et du prêtre aussi, afin de faire d’un moment de grand dépouillement un moment de prière et de communion sans jamais prononcer ces mots-là mais en les vivant et pensant les vivre avec les autres.
Il est tombé bien bas le petit chantre qui n’avait pas ce nom, et il va se laisser relever loin du tintamarre des célébrations festives ou dépouillées, loin de la table locale du festin des noces de l’agneau, mais en pensant régulièrement à cette petite communauté dépouillée qui l’avait accueilli, même quand il était dans de grands tourments et ne pouvait plus les servir. Il sait qu’eux aussi pensent à lui…
Tel est le « chantre petit prince blessé » aimé, ignoré, reconnu, envié, décrié, de la planète Église… »

Castafiore - 08 mars 2024 - 5:43

« Merci "chantre, petit prince blessé." »

Geneviève - 08 mars 2024 - 8:30

« Castafiore, l’expérience m’a appris que lorsque l’on a un ministère vécu avec générosité, on se fait régulièrement rentrer dedans par des flèches empoisonnées qui transpercent le cœur et causent une blessure très profonde. Il y en a un qui n’est pas content et il sait très bien choisir ses messagers. Il les titille, les énerve (1) jusqu’à ce que le messager choisi « performe », et il ne rate jamais sa cible. Ouch ! Aïe ! que ça fait mal. Cela confirme la fécondité du ministère ou de la mission vécue. Jésus en est mort sur la croix suite à une vie où il était constamment remis en question par des scribes et des pharisiens. Puisse le Seigneur nous aider à guérir et empêcher la désintégration de son Église !
Union dans la prière,
je prierai et pour l’offenseur et l’offensé,
Anita
Un jour, au groupe de prière, j’ai reçu cette parole de connaissance : « Ma petite brebis blessée, je la prendrai sur mes épaules. » J’en suis tombée des nues. Je venais de confier au Seigneur l’une de ces blessures qui m’avait mise à carreau et m’empêchait de retourner au travail.
1. Cela s’appelle l’assaut des distractions impossibles à chasser. Ep 6, 12 un jour j’ai passé 30 minutes à me lever et à m’asseoir sur ma chaise, pressée par l’urgence apparente des tâches alors que j’avais décidé de prier. »

Anita - 09 mars 2024 - 1:27

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