« Avant de danser il y a la musique.
C'est un rythme que l'on acquiert et sur lequel on s'exprime corporellement.
Mais la joie est déjà présente avant la première note.
Tout est affaire d'ambiance car on peut reconnaître la présence de Dieu dans chaque variante de la journée.
Justement, j'ai écouté des concerts et des chants dimanche dans une église pas loin de chez moi et ce rythme qui fait accompagner non seulement par les pieds mais aussi par le cœur, était transportant.
Particulièrement par cette si belle interprétation de la Rhapsody in blue de Gershwin.
Comme la lumière du soleil, c'est Dieu qui nous offre ces bons moments, même pour des chants ou des musiques non religieux.
C'est communicatif, car la joie se partage !

»

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Vincent59500 - 18 mars 2024 - 22:28

« David danse devant Dieu. Et la joie de son Dieu dans en lui et le fait danser.
La joie du Père danse dans son Fils bien-aimé, même crucifié. Et la joie du Père devient celle du Fils qui n’a perdu aucun des siens qu’il a aimé jusqu’au bout, sauf celui qui s’en va à sa perte en donnant sa vie pour eux tous.
Et la boucle est bouclée, le mystère pascal et trinitaire reste entier.. »

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Isabelle - 18 mars 2024 - 19:43

« « Danser en rythme … EN RÉPONSE À LA MUSIQUE QUI VIENT DE DIEU et nous entraîne. » nous dites-vous, frère ! Quelle belle traduction de « la joie fruit de l’Esprit,» quelle magnifique description de ce que vit spirituellement le Roi David QUI EXPRIME par tout son corps, devant Dieu et son peuple, la JUBILATION que la présence de Dieu suscite en lui, présence dévoilée par l’arrivée de l’Arche d’Alliance.

Au XXIe siècle, c’est ce que nous vivons lorsque nous nous mettons à chanter en langues APRÈS LA CONSÉCRATION lors des Congrès des groupes charismatiques. Pas de chef de chœur humain, ni personne qui donne la note de départ, pas de feuillet de participation. L’Esprit se manifeste dans les cœurs de tous les participants en même temps, et les incite à s’exprimer par le chant spontanément chacun selon ce qu’il est et vit et ensemble par des sons ineffables ; tous se mettent à chanter. L’harmonisation est parfaite. Chanter en langues, est notre réponse à la joie immense de l’Esprit qui jubile de se retrouver en présence du Seigneur présent dans le Saint Sacrement avec ceux qui le reconnaissent comme Seigneur et Sauveur. Nous sommes devenus un seul esprit par lui, avec lui et en lui et nous nous l’exprimons par ce chant aux mots mystérieux. Ce chant est notre réponse à l’invitation du Ps 32, 3 et au Ps 99 écrit Saint Augustin dans ses commentaires sur ses psaumes.
»

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Anita - 18 mars 2024 - 18:41

« Merci pour cette méditation qui m'enchante !
Sans musique, quelle tristesse....chaque jour j'écoute de la musique, c'est une joie, et chanter encore plus. Et pourquoi ne pas danser dans une église sur des chants entraînants ? Où est le mal ? C'est manifester notre joie, la joie d'être en union avec le Christ, la joie qu'il nous donne et que nous
lui exprimons ainsi. Un temps j'aimais participer à des rassemblements charismatiques, tout ne me plaisait pas, mais c'était si bon d'exprimer cette joie.
Quant aux enfants, j'ai assidument assisté à des messes où il y avait toujours un bon nombre d'enfants et même de bébés, c'était plus bruyant certes, mais c'était vivant ! Le Seigneur ne nous demande pas d'être comme des statues, juste de respecter les frères et sœurs. D'ailleurs ne dit-il pas d'accueillir chacun dans sa maison ?
Bonne soirée à tous dans la JOIE.
Fraternellement,
monette »

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monette - 18 mars 2024 - 18:26

« Merci Seigneur pour la joie !
Toi , l’Au delà de Tout , tu nous donnes une joie bien au delà de la nôtre . La joie des chants de louange la joie de l’amour »

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Marchais Marie - Agnès - 18 mars 2024 - 17:15

« "Mon visage est il pour mon prochain.... visage d'un Dieu qui aime et qui sourit ? ...... " D'un vrai sourire alors ; pas un sourire de politesse ou de circonstance quoique sourire est parfois la manière d'effacer du visage la tristesse et/ou la fatigue. L'iconographie chrétienne représente un enfant Jesus souriant ; un Jesus adulte au visage grave le plus souvent. "Danser de joie" : c'est possible mais tout le monde n'extériorise pas les sentiments de la même manière .Il y a des joies (et des douleurs) silencieuses Des siècles sont passés depuis le roi David apportant des évolutions dans les rituels religieux. Dans une période où il est facile de qualifier arbitrairement de "bon" ou de "mauvais" celui/celle qui adopte ou non la pensée en vogue, un certain conformisme au sourire me semblerait (j'emploie le conditionnel) s'approcher d'un ukase "Souriez, vous êtes filmés" La méditation de Frère Marie Augustin m'amène à m'interroger sur le sens du sourire que je donne, que je recois . Elle m'incite à "regarder moi même ce Dieu qui me donne sa joie" Et si mon comportement, ou mon visage, ne traduit pas toujours la joie d'être enfant de Dieu, je dirai comme Pierre "Seigneur, Toi qui sais tout, tu sais bien que je t'aime....." »

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mahona - 18 mars 2024 - 16:16

« Il y a un temps pour tout sous le soleil et lorsque j’animais le chant, je choisissais ceux qui étaient les plus pertinents pour exprimer ce qui nous habite selon les événements où les temps liturgiques… et le contenu des textes. La solennité d’une ordination sacerdotale, n’est pas celle d’un baptême, le mariage diffère des funérailles, Noël de Pâques, le rassemblement festif des nuits de Pentecôte, d’une messe chrismale… tous sont vécus dans la joie de l’Esprit mais elle se vit s’exprime différemment selon l’événement célébré. Elle est soutenue par le violet, le rose, le vert, ou le blanc, … de la chasuble du prêtre. Ils sont le reflet porteur d’un dialogue entre Dieu et son peuple. La joie de Noël résonne différemment de celle de Pâques, de la Pentecôte ou des Congrès charismatiques… encore faut-il être conscient de la réalité de ce que l’on célèbre. David n’a pas toujours manifesté sa joie par une danse aussi spectaculaire et exubérante. L’événement était exceptionnel et unique : l’Arche de l’Alliance entrait dans sa cité. À la Pentecôte on a dit des disciples de Jésus qu’ils étaient pleins de vin doux. La joie est fruit de la présence de l’Esprit et lorsqu’il danse en nous, le corps réagit, notre esprit tressaille … comme celui d’Élizabeth lorsque Marie la salua. La joie de l’Esprit a résonné si fort en elle que saisie tout entière, elle s’écrie d’une voix FORTE : « Tu es bénie… D’où me vient que la mère de mon Seigneur vienne chez moi? » »

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Anita - 18 mars 2024 - 13:57

« En vous écoutant, frère, j'ai tout de suite eu l'image des sœurs à la Salette qui font une magnifique procession des offrandes en habits traditionnels avec petit coussin su la tête pour porter de grosses cryches d'eau elles chantent et avancent en rythme, c'est magnifique
Par conséquent re samedi la messe dans notre paroisse était animée ar les jeunes qui se préparent à la confirmation, et bon nombre de fidèles ont boude cette messe.
Il faut de tout pour plaire.
Pour ma part musique ou pas l'essentiel est l'arrière et le partage.
Bonne journée à tous »

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Blandine - 18 mars 2024 - 11:01

« Catéchiste en Afrique pendant plus de 30 ans, j'ai accompagné bien des enfants à la communion puis à la confirmation. Je peux vous dire l'allégresse qui nous unit tous à Jésus en rendant gloire à Dieu, en chantant de tout notre cœur avec les mains et les pieds. Au moment des offrandes, qui avec un sac riz, ou du lait, ou du pain, s'avance dans un pas cadencé en chantant avec toute l'assemblée. Je peux vous assurer de la pure joie qui enflamme nos cœur. Jésus est bien parmi nous. Les enfants sont heureux et la joie pure monte dans l'église. Jésus est là parmi nous!
"Il est bon de louer Dieu" 🎶 chant très entraînement alors louons le.

Il n'empêche que dans le secret de nos chambres nous prions le Seigneur en cœur à cœur, où encore en tête à tête veillant avec ferveur le Saint Sacrement. La joie illumine notre coeur.

Merci frère pour votre méditation qui m'a remémoré cette ferveur que nous retrouvons généralement en communion avec l'assemblée de Dieu lorsque nous sommes les invités au "Repas de Seigneur"... Sauf que nous venons vêtus comme pour une fête, d'où l'expression "endimanchés", le cœur en joie. C'est ainsi que je disais à "mes enfants" : "Comment allez-vous à une fête ? Débraillé ?" - Non répondaient ils! Alors moi : " Il faut se faire beaux ou belles lorsque le Seigneur vous invite ".

Bonne journée dans la paix et la joie du Christ. »

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Marilou - 18 mars 2024 - 10:43

« Tous les avis sont partagés sur les animations des messes, suivant les âges.
Les enfants, les jeunes ont besoin de messes animées, joyeuses, dansantes. Bien des adultes aussi. La joie du coeur ne pouvant parfois pas se contenir.
J'ai connu une carmélite de 80 ans qui me disait :
"Je rêve de voir des enfants danser pendant la messe !"

Quant au visage, visage de Dieu qui aime et qui sourit, je pense à cette Soeur de la Providence. Elle était rayonnante. C'était une richesse d'aller à ses réunions bibliques ou de la rencontrer.
Dernièrement, je n'ai pas osé dire à une infirmière qui venait voir ce dont on avait besoin comme aide (étant âgés, mon mari et moi): "Je suis croyante".
Elle me trouvait souriante malgré les trop nombreuses épreuves que j'avais eues dans la vie et avaient encore actuellement avec mes enfants handicapés. Je lui ai simplement répondu :"J'ai été faite comme cela". »

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Geneviève - 18 mars 2024 - 10:32

« "Suis-je habité par Dieu?" Grande question... Hier, en sortant de la célébration des scrutins, il me semblait que la Joie donnée par Dieu m'habitait mais cela n'a duré qu'un temps: quelques heures après, nous allions, en famille, visiter ma belle-mère, en maison de repos et telle ne fut pas notre étonnement (un véritable choc, à vrai dire) de constater que l'aide-soignante avait décidé, de manière péremptoire, de la placer dans son lit à 16h (elle allait y rester plus de 16h également...) la privant ainsi de toute mobilité, de tout contact social, de ce temps de famille... Quelle tristesse... La joie a ainsi été brisée, fracturée, anéantie en une seconde et le poids de cette tristesse prédomine encore aujourd'hui et la réunion avec le chef de nursing programmée en fin de semaine risque bien de mettre à mal le peu de joie qu'il nous reste... Alors, oui, Seigneur, donne-nous La joie qui vient de toi, solide comme un roc et non cette joie éphémère, volatile, transitoire, précaire, la première nous permettant de résister au assauts de l'individualisme, de la négligence, de l'indifférence de nos contemporains... »

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Laurent - 18 mars 2024 - 10:32

« j'aimerais danser de joie à la messe, mais mes semelles de plomb me collent au sol, le 'quant dira t on" m'empêche cette expression! il n'y a que dans certaines réunions de renouveau charismatique où je me laisse aller!!!! »

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Dominique Paumier - 18 mars 2024 - 10:02

« La foi est souvent joie, je fais l'expérience de cette joie qui tressaille à certains moments de la messe, à l'écoute d'une parole, d'un mot et en durant le chant bien sûr. Cependant, le rite ne fait pas grand cas de nos corps. J'ai tenté dans ma paroisse d'aborder le sujet en proposant le mime ou la gestuation d'une prière. Pas de retour. Il ne s'agit pas de se trémousser, comme le dit notre prédicateur mais de faire entrer la parole en soi, d'accompagner la parole et le geste pour nous aider à vivre l'eucharistie comme un véritable sacrement.
J'ai découvert la biodanza, danse de la vie, Je vous invite à aller voir de plus près. J'y pense quand je suis à l'église. Souvent je voudrais danser ...
Bonne montée vers Pâques.
Valérie
»

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Valérie H - 18 mars 2024 - 9:07

« Catéchiste pendant plus de 30 ans. Ah! Quelles étaient belles nos célébrations avec les enfants ! Mimes et chants des éveils à la fois, chants rythmés des primaires, scenettes des ados sans oublier les visages lumineux des handicapés. Ma vie a été ponctuée de toutes ces bénédictions. Opérée d'un cancer en 2017 j'ai retrouvé la joie au sein de Lourdes Cancer Espérance, le pèlerinage du sourire où les messes expriment la joie. Joie de la Vie, joie de l'Espérance! Bonne journée à tous dans la joie ❤️ »

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FRANCINE LABRUNIE - 18 mars 2024 - 9:06

« Je parlerai moi qui aie beaucoup souffert et fait souffrir, souffre encore, mais différemment.
Voici ce que l’esprit m’a dit dans le secret et qui doit être dévoilé, révélé au grand jour, boisson vinaigrée imbuvable tendue au crucifié:
La joie du Père, pour, par, et en son Fils bien-aimé qui fait toujours sa volonté, danse en, par et pour son Fils crucifié, immobile.
Comprenne qui a les oreilles qui sifflent, ou les oreillettes qui saignent… »

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Isabelle - 18 mars 2024 - 8:45

« Danse de joie. De la danse à la joie divine.
Méditation de ce jour souriante, légère et joyeuse.
Puis il y a les commentaires.
Sombres et alourdissant.
Je ne doute pas des difficultés d’existence de mes frères et sœurs, néanmoins la rancœur exprimée par quelques un(e)s, est nuisible dans cette espace de parole.
Fraternellement.

»

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Vincent - 18 mars 2024 - 8:26

« Certains commentaires me surprennent...

Personnellement, j'aimerais beaucoup danser à la sortie de l'Eglise mais aussi au Gloria et au Sanctus, même sur place , chacun comme l'Esprit le fait bouger. Oui, souvent les célébrations manquent d'expression, de joie. Cela aussi selon la mentalité où l'on vit (certaines populations semblent froides, raides, mais la joie est communicative). Exprimer sa prière avec tout son être serait normal. Et ne pas devoir faire chacun comme le voisin... »

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Cath - 18 mars 2024 - 7:39

« C est ainsi qu en Martinique aux Trois Ilets,que le samedi soir,messe de l Épiphanie, 2 danseuses,précédant le prêtre, sont arrivées en dansant dans l église.Elles font parties d un groupe qui chantent et qui dansent,à travers toutes les églises de Martinique.je trouve ces messes pleines de joie.. »

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Michele - 18 mars 2024 - 7:36

« Dans la relation entre la danse et le sacré m'est venue à l'esprit la figure hindoue du naṭarāja : « roi de la danse » représentant Shiva qui exécute une danse cosmique, cette « danse de la félicité » où création et destruction universelle coexistent. Mais, cela ressort d'une autre tradition culturelle et religieuse ! Oui, nos corps sont souvent fatigués, et c'est souvent la preuve intérieure d'une "nuque raide" indépendamment de l'état de nos cervicales, mais qui peut affirmer qu'il n'y a pas en nos ankyloses, une part de vraie joie ? »

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philippe - 18 mars 2024 - 6:36

« La musique donne des ailes à nos pensées et une âme à nos cœurs.
Chanter pour oublier...
Une dimension autre quand le chant et la musique nous emportent. Nos prières sont joie. Une invitation à danser dans notre cœur avec les autres. Une église vivante. Ou un autre lieu de prières. Dieu est partout. Dieu est amour. Dieu est joie. Donnez nous chants et musique. Chanter c'est prier 2 fois. 🙏🙏


»

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Christine - 18 mars 2024 - 6:36

« Ce n’est pas moi qui décide si je suis visage de Dieu autour de moi.
Pour moi, personne en particulier n’est visage de Dieu.
Le visage de Dieu est, comme le reste de son corps, une composition.
Je ne suis ni la proie ni le carnivore. »

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Isabelle - 18 mars 2024 - 5:36

« Merci au frère Marie-Augustin-Laurent pour nous parler de la joie ressenti avec la musique. Je suis musicienne, et ma prière est toujours en musique. J'ai besoin de ressentir cette joie pendant les célébrations et sans musique je m'étiole et me remplie de tristesse. »

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andree besner - 18 mars 2024 - 3:35

« Bonjour frère Huyghues,
- « Est-ce que la présence de Dieu se reflète sur mon visage ? »
- « Les yeux sont le miroir de l’âme. Je l’ai vu lorsque mes élèves revenaient du confessionnal.
- « C’est vrai, madame, comme vous l’avez dit ! J’ai vu la lumière dans leurs yeux. »
Il en était de même au moment de l’onction lors de leur confirmation. Leurs yeux étaient lumineux.
- « Ce n’est rien ce que vous voyez, me répondit le prêtre à qui j’en ai parlé, c’est tout le visage qu’il s’illumine au moment de l’absolution. Les adultes sont plus réservés. »
Ce client s’est retourné vers moi et me dit : « Vous semblez très heureuse madame, profitez en bien pendant que ça passe. » …
Je ne nous vois pas danser pendant la consécration en pagne : autre culture, autre temps, autre mœurs.. Mais je verrais très bien comme chant de sortie : « Danse de joie, Danse pour ton Dieu - Il est vivant de M. Penhard.
En Sophonie, il est écrit : « Le Seigneur ton Dieu est au milieu de toi. C’est lui qui remporte la victoire. Il est rempli de joie à cause de toi. Son amour te donne une vie nouvelle. IL DANSE POUR TOI COMME POUR LES JOURS DE FÊTE. »
Bonne continuation, frère,
Anita
P.S. Quant à Moïse, il devait se voiler le visage lorsqu’il revenait de ses rencontres avec Dieu… « … les enfants d’Israël voyaient que la peau de son visage rayonnait. » Ex 34, 35 »

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Anita - 18 mars 2024 - 1:32