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Par X
À vous la parole (54 commentaires)
« Merci Père pour cette belle parole d'Espérance et de confiance, cela nous aide dans notre parcours actuel, cancer non guérissable de mon cher mari;
Merci de toute notre coeur »
brigitte - 21 février 2024 - 19:12
« A une maison de repos pour personnes âgées, les sourires illuminent ces beaux visages .
A un tel point, une pensée de Maurice Zundel me parle ...
' Si vous êtes le sourire de Dieu ,
La Vie renaîtra et Dieu sera
Merveilleusement glorifié ' »
Marie-Noelle - 21 février 2024 - 0:31
« La dépression est destructrice mais nous pouvons nous en sortir grâce à la bonté et la miséricorde de notre dieu i nous abandonne jamais il a son regard posé sur nous et ce que nous vivons dans la maladie
Je ne priais plus la ou j etais soignée il y avait une chapelle ou je me rendais souvent cela m as aidé à m en sortir
J aie compris plus tard que jésus a toujours été la et avec moi
Et avec jésus je continue à lui rendre grace il a fait beaucoup dans ma vie et dans celleslde mes enfants
Gloire à toi amen
Et j aime vous écouter et vous lire merci à vous
»
Chantaloue - 20 février 2024 - 22:00
« La tristesse ne sert à rien.
Pour moi cette affirmation est fausse.
La tristesse engendre les larmes et les larmes désarment les cœurs; elles permettent d’évacuer la souffrance, de ne pas la renier, mais de la regarder en face et d’en chercher les causes, plus ou moins profondes, et de ne pas se « martyriser » soi-même, mais apprendre à se faire du bien.
« Heureux ceux qui pleurent ils seront consolés. » Après vient une paix profonde, issue d’une libération intérieure, où peut naître une joie intérieure avant d’être extérieure, qui sait se faire discrète et compatissante. »
PG - 20 février 2024 - 19:19
« Bonsoir,
l'affirmation "La tristesse ne sert à rien" vient de la Bible.
Je suis d'accord avec vous, mais dans les médiations que je propose je parle de la JOIE et de la TRISTESSE dans l'ordre "non-psychologique". Sur ce champs, je pense que nous sommes d'accord. L'émotion de la tristesse est neutre comme toute autre émotion. Elle est aussi importante pour les situations que vous décrivez. C'est vitale. Mais dans les méditations de cette semaine, j'invite les retraitants de sortir de ce schemat, d'essayer voir la joie ou la tristesse non seulement comme une émotion. Je ne la compare pas non plus a la maladie de dépression - cela est un autre sujet dans lequel je ne suis pas compétent. Pour la tristesse de l'âme le vrai remède est la joie - le don du Saint-Esprit. Bon chemin de carême ! »
« Oui, je comprends. Merci de votre réponse. Je vais tâcher de suivre cette semaine dans cette optique.
Par contre je pense que l’homme ne peut pas être totalement unifié s’il évince le psychologique du spirituel, même si le spirituel avec la prière donnent parfois de belles surprises et de beaux résultats.
Mais ce n’est que mon avis, issu de mon expérience.
Bon carême également. »
PG - 20 février 2024 - 22:53
« Bonjour frère Albert,
Y aurait-il à ce moment là un esprit de tristesse à chasser au nom de Jésus et par la force de l’Esprit car pouvant être venu se greffer sur une émotion telles que la tristesse, la peur, ou l’angoisse… l’amplifiant … jusqu’à rendre la vie intolérable ? Paul écrit que ce n’est pas un esprit de peur que Dieu nous a donné mais un esprit de force, d’amour et de maîtrise de soi. » 2 Tm 1, 7
Et selon saint Ignace nos pensées sont de trois sources. En est-il de même pour les émotions?
Nous aurions alors à soigner et le psychologique et à faire une prière de libération d’une emprise d’ordre spirituelle?
Anita
»
Anita - 21 février 2024 - 0:04
« Ou alors les fruits de l’Esprit seraient-ils des critères de discernement donnés pour nous confirmer sa présence lorsqu’il nous donne des inspirations, ou que nous entendons une parole?
Merci,
J’aime ce site,
Anita
»
Anita - 21 février 2024 - 0:13
« Et alors, si
« On reconnaît un arbre à ses fruits. » disait Jésus et que l’on ne cueille pas des figues sur des buissons d’épines, ni des raisins sur des ronces, la joie, fruit de l’Esprit devient alors signe permettant de discerner sa présence et il n’est en aucun cas de notre pouvoir de nous la donner. Il reste la prière et demander au Seigneur d’envoyer son Esprit à la rescousse afin que nous retrouvions sa joie, ou quitter notre apitoiement sur nous-mêmes pour nous tourner vers le frère dans le besoin, d’expérience, la joie de l’Esprit se pointe aussitôt le nez. »
Anita - 21 février 2024 - 1:21
« Merci Frère Albert pour cette si belle méditation ! Elle est courte, simple mais très parlante. Elle me va droit au cœur et me fait le plus grand bien.! Quelle joie de la découvrir ce matin ! Dans ces temps troubles et difficiles, que demander de plus ? Et comme le dit Frère Albert à la fin de sa méditation, pour illuminer son cœur et sa vie, il suffit simplement de revenir à l'essentiel: la prière du Notre Père.
Et point n'est besoin de disserter sur de grandes phrases intellectuelles et citations, de Bernanos et autres (pardon pour cette réaction d'humeur) ! Sachons avant tout rester humble, à notre petite place... Bon Carême à tous. »
Patrick - 20 février 2024 - 19:13
« Bonjour,
La tristesse ne sert à rien, oui c'est vrai. Seulement il y a un Mais : quand une profonde dépression nous tombe dessus ? Inutile de dire de se secouer, de sortir ni même de prier, nous ne le pouvons pas, nous sommes dans un désarroi total, seuls des soins peuvent aider à s'en sortir, sortir de cette chappe de plomb qui nous écrase. Alors seulement nous pouvons déposer ce fadeau au pied de la croix et retrouver le goût de la prière, alors revient la joie de vivre.
La joie je la trouve simplement chaque matin en commençant une nouvelle journée,
»
monette - 20 février 2024 - 19:08
« Monette, je suis d'accord avec vous ...pour avoir traversé des années de dépression, pour avoir été réduite à presque rien, je sais que la dépression n'est pas la tristesse, mais une maladie qui vous déshumanise ...
Et que, même bien soignée et guérie, cette blessure qui reste en soi est traumatisante, la joie est une autre planète ... »
Marie Thérèse COURCOUL - 20 février 2024 - 20:13
« Comme je disais dans un autre commentaire - je ne compare pas (je ne suis pas compétent) la tristesse (non émotionnelle) a une maladie de dépression. J'invite les retraitants a essayer de voir la joie et la tristesse sous un autre angle. Bon chemin de carême ! »
« Merci Vincent 6:16.
Rien à rajouter. »
IG - 20 février 2024 - 18:58
« C'est vrai, l'état de tristesse ne sert à rien.
Je comprends que des prisonniers qui se réveillent chaque jour en voyant les murs de leur prison et les barreaux aux fenêtres ne soient pas d'une gaieté communicative.
Outre l'absence de liberté, tout leur rappelle leur faute et les conditions de vie sont difficiles.
Il y a peut-être une deuxième sorte de prisonniers, ceux qui vivent dans le luxe.
Pouvant posséder tout ce qu'ils veulent, ils n'ont plus de goût à rien.
Dans les deux cas, prisonnier sous les barreaux ou prisonnier de l'opulence, ils ressentent une existence vaine et creuse, sans projet, sans simplicité.
Dieu ne reste pas indifférent à cela et nous propose de sortir de notre prison.
Internet cite 27 versets bibliques sur cela, dont Isaïe 61-1 : "au prisonnier la délivrance", ou dans l'Imitation de Jésus-Christ : "j'ouvrirai les portes de ta prison".
Sans oublier la prière de saint François d'Assise : "là où il y a la tristesse que je mette la joie ! ".
Ce rebond intérieur va de pair avec la déconsidération des œuvres du mal.
Autant que possible, dépasser cette tristesse pour vivre dans l'instant présent sans trop demander.
»
Vincent59500 - 20 février 2024 - 18:54
« Mon esprit est traversé par La joie, "est-ce une joie du saint Esprit?" puis vient l'adversité et une étape difficile parfois avec un proche, un manque de douceur et de patience réciproque. Alors cette émotion va basculer vers un tristesse passagère. Aujourd'hui,jour de mon anniversaire, je me souviens de la vie qui m'a été donnee et de la force de mon ami le Saint Esprit qui a pu chasser tant de sentiments de desespoir. Il m'inspira un psaume ou une phrase d'un chant " joie pour ceux qui ont pardonné, l'Esprit de Dieu les a comblés, ils reçoivent miséricorde, Dieu les a relevé" merci pour cet itinéraire . Je peux mieux m'y intéresser maintenant en vacances. »
Gaëlle - 20 février 2024 - 18:14
« Merci de vos mots de foi qui renforcent la mienne, comme les autres commentaires d'ailleurs et bon anniversaire... dans la joie ! »
Christiane - 20 février 2024 - 18:42
« Tristesse, peine, désespoir, souffrance... des mots reflétant des émotions bien différentes... J'étais ''triste'' hier de voir ce lieu d'échanges d'une retraite de carême devenir un lieu de règlement de comptes... J'ai eu beaucoup de peine à 10 ans en quittant mes amis suite à un déménagement... J'ai goûté au désespoir lorsque la solitude a envahi mon quotidien... Il faudra passer par la souffrance du Christ en croix... si nous voulons accueillir la Joie Pascale... »
Ge - 20 février 2024 - 15:55
« Bernanos écrit "Le démon de notre coeur est le A quoi bon"" Cet A quoi bon qui paralyse, empêche d'imaginer une suite, une évolution meilleure et conduit à la tristesse du coeur et de l'existence. "Je vous annonce une grande joie......'" disent les anges aux bergers. Joie qui se transformera en tragédie avec la crucifixion, illustrant le parcours très humain d'un Dieu fait homme pour se rapprocher de nous. "De leurs angoisses, Dieu délivre les justes..." et ceux qui vont à lui en confiance, sachant ou reconnaissant être aimés par le Père. Délivre nous de nos légitimes tristesses, Seigneur, afin d'apercevoir le chemin lumineux de Celui qui assure être "la lumière du monde" »
mahona - 20 février 2024 - 15:32
« La joie, il y a tellement de joies différentes!! merci pour me rappeler que la joie , la vraie vient du Bon Dieu.... Mais parfois c'est difficile de la trouver... il faut continuer malgré tout, à tout faire pour la trouver MERCI »
claudemarie - 20 février 2024 - 14:32
« Du pardon, vécu selon Dieu lors d’une réconciliation ou du passage de la tristesse à la joie.
Je suis à l’école de Jésus, de saint Paul et d’Isaïe 2 Co 7, 9-16 ; 2 Co 2, 5-11 ; Is 63, 8 ; Ep 4, 23 ; Ép 4, 17-32, j’ai écrit brièvement :
Quelqu’un a causé de la tristesse, c’est à vous tous qu’il en a causé. Tite nous a appris votre désolation… Je me réjouis de ce que cette tristesse… le conduise au repentir… Voyez ce qu’elle a produit : Quelles excuses ! Quelle crainte ! Quel désir !
Lorsque nous pardonnons en présence du Christ, Satan devient impuissant et nous entrons dans le défilé qui célèbre la victoire du Crucifié car nous avons pardonné comme lui pardonne. En agissant ainsi, en fils et filles du Père, nous évitons d’attrister le Saint Esprit de Dieu par lequel nous avons été scellés pour le jour de la rédemption.
« Laissons-nous renouveler par la transformation spirituelle de notre pensée. »Que toute amertume, colère, médisance ou calomnie soient ôtées du milieu de nous. Ce n’est pas un esprit de tristesse mais de joie que nous avons reçu. Vécue selon Dieu, la tristesse mène au salut sans causer de regrets tandis que la tristesse selon le monde produit la mort.
« Quelle joie pour moi d’avoir pleine confiance en vous. »
« Dieu dira, vraiment, ils sont mon peuple, des fils qui ne trahiront pas. » Is 63, 8 »
Anita - 20 février 2024 - 17:19
« Chère Claudemarie,
Je suis désolée, je ne sais pas pourquoi mon texte se retrouve ici plutôt qu’à la suite du mien. J’espère ne pas vous avoir heurtée. J’avais choisi le sujet pour des raisons personnelles et je ne voulais pas entrer dans le narratif.
Anita »
Anita - 20 février 2024 - 17:26
« De la tristesse et de l’angoisse à la joie.
- « Dans mon angoisse, j’ai crié vers le Seigneur… ! » Ps 117, 5
- « Il m’a dit : « Mais pourquoi fais-tu confiance en parole d’hommes ! »
- « … de l’homme dont le sort est pareil à celui de l’herbe ! » Is 51, 12
…
Aujourd’hui, je chante :
- « Je suis dans la joie, une joie immense, car mon Dieu m’a libérée. »
… et aussi…
- « Il n’a pas dit que tu sombrerais, il n’a pas dit que tu coulerais, il a dit : « Allons de l’autre bord ! Allons de l’autre bord ! »
Avec saint Paul, je dis:
- « Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, le Père plein de tendresse, de qui vient tout réconfort ! Dans toutes nos détresses, il nous réconforte ainsi nous pouvons réconforter tous ceux qui sont dans la détresse grâce au réconfort que nous recevons nous-mêmes de Dieu. » 2 Co 1, 3-4
Jésus le confirmé : « Heureux ceux qui pleurent, ils seront consolés. » Mt 5, 4
Avec son Père et dans l’Esprit, il est le seul Consolateur. »
Anita - 20 février 2024 - 12:42
« Jeune catéchumène de 17 ans, il s'appelait Thomas. Je l'accompagnais vers le baptême. Sa famille était plutôt du quart monde. De faible QI, il était à l'IMPro ( Institut Médico Professionnel ) où je faisais de la catéchèse. Il venait à pied à l'IMPro et devait traverser un grand pont du chemin de fer.
Un jour, il me dit : " Hier, en venant, sur le pont, je ne sais pas pourquoi, mais j'étais content, content. J'avais envie de chanter et de danser."
Ainsi, il y a des joies intérieures qui nous surprennent. Pour moi, elles sont dons de Dieu.
»
Geneviève - 20 février 2024 - 11:33
« À 84 ans, déambulateur à côté de moi, pas facile de retrouver la joie de vivre même si je sais que le Seigneur est près de moi. Les mains trembles, mis il y a un correcteur d'orthographe qui corrige mes pauvres messages adressé à Dieu qui est amour. »
Daniel - 20 février 2024 - 11:04
« Vos mains tremblent mais votre foi ne vacille pas les regrets. merci à vous Daniel »
Christiane - 20 février 2024 - 18:45
« J'ai oublié le mot " malgré" je voulais dire malgré les regrets »
Christiane - 20 février 2024 - 18:47
« Merci Père pour ce mot "joie" que je dois trouver au quotidien. Que ce carême contribue à effacer mes moments sombres. »
Lhoste Marie-Annie - 20 février 2024 - 10:48
« impossibled'avoir du son
difficile pour un malvoyant »
COINTE - 20 février 2024 - 10:37
« Merci, Seigneur, de me redonner la vraie joie durant ce carême malgré le fardeau du quotidien et je te rends grâce pour chaque jour de ma vie
»
Myriam - 20 février 2024 - 9:32
« Chers retraitants, bienvenus sur cet espace de commentaires. Afin de garantir une expérience positive pour tous, nous vous présentons notre CHARTE DU BON USAGE DES COMMENTAIRES.
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L’équipe de Carême dans la ville »
« Merci sœur Anne-Claire pour votre intervention, cela fait un bon moment que j'attendais une intervention afin de modérer certains échanges. Je n'osais plus trop mettre mes commentaires.
Bonne journée à vous 🙏🙏 »
monette - 20 février 2024 - 10:59
« De même pour moi »
Geneviève - 20 février 2024 - 11:05
« Et certainement pour moi, de tout cœur merci »
kathy - 20 février 2024 - 11:20
« Oui, Merci soeur Anne-Claire, mes amies et moi,
attendions depuis longtemps , une réaction dominicaine .
Bon chemin de Carême à tous. »
J.c - 20 février 2024 - 11:45
« Bonjour ma sœur, ayant posté en premier un commentaire peu chaleureux, je prends votre rappel aussi pour moi. Pardon si j’ai choqué un retraitant. Aucune volonté de froisser un frère, une sœur, un lecteur ou bien un retraitant. Et si cela s’est produit par accident, je demande à nouveau pardon.
Cette méditation n’est effectivement pas sans effet!
Jésus a pleuré à Gethsémani, il a aussi pleuré son ami Lazare.
C’est peut-être cela que je recherchai à dire dans mon propos de ce matin.
Merci de votre lecture.
Cordialement et fraternellement
Vincent »
Vincent - 20 février 2024 - 14:11
« J'ai longtemps pensé que ce site pouvait être vu comme un exutoire pour se libérer de tensions, de douleurs cachées à l'entourage et que c'était sans doute une des raisons pour lesquelles la communauté dominicaine n'intervenait pas Merci Soeur Anne claire pour en avoir défini les règles. »
mahona - 20 février 2024 - 15:19
« Euh… concernant le paragraphe 4 de la charte, les milieux autorisés s’autorisent à la tête du client?
Ce commentaire est-il approprié ou tombe t’il sous le coup de l’une ou l’autre ou de ces 7 « règles d’or »? Si oui, pour quel jugement ? Selon qui? »
Isabelle - 21 février 2024 - 4:55
« J'apprends avec tristesse ce matin qu'une communauté, où je participe aux offices va bientôt fermer par faite de moyens. Abba Père, d'enlever toutes tristesses en moi. »
Mireille - 20 février 2024 - 8:51
« Ça me paraît bien facile de balayer d’un revers de manche, la tristesse pour la transformer en joie comme remède dites-vous
Jésus, lui-même n’a pas échappé à cette tristesse à l’heure de l’agonie et la profondeur de cette tristesse était telle qu’elle lui a fait crier de désespoir vers son père. Le disciple n’est pas plus grand, que le maître alors, comme Jésus, criant. « pourquoi m’as-tu abandonné ? » nous pourrons, avec lui dire « Père, entre tes mains, je remets ma vie. » »
Croireaqui - 20 février 2024 - 8:50
« Pas de Joie sans Louange ! Seigneur, ouvre mes lèvres pour que je puisse entonner le psaume et chanter pleinement au moment voulu, au cours de l'office. Telle sera la preuve que je suis habité par la Joie ! »
philippe - 20 février 2024 - 8:32
« Bonjour Philippe
Chanter c'est prier 2 fois !
»
Christine - 20 février 2024 - 8:39
« Merci Père pour ces belles méditations et l'enseignement à garder la joie . »
Claire - 20 février 2024 - 8:30
« Mon frère, vous tombez juste ! A la fois la gaieté et une tristesse sourde au fond de mon cœur. Je cherche le moyen d'y remédier. Hier soir je regardais par exemple si les retraites de St Ignace pouvaient m'aider sur ce chemin de plus de joie dans ma vie. Dans l'immédiat je vais méditer vos paroles et le mot "distraction". Bien à vous »
Emmanuelle - 20 février 2024 - 8:19
« Merci Frère Albert pour cette très belle méditation.
Cette belle image. Des mains posées sur des mains qui ne savent plus, faibles et qui cherchent un soutien. Et les mots. Nos émotions même négatives. A comprendre. Pour avancer. Ne pas se fossiliser dans la peur. Les doutes. La tristesse. Une pépite à chercher chaque jour. Dans un monde bien fou. Mais où chaque cœur espère.
Merci de nous aider à retrouver la joie la confiance.
Un carême de joie et de liberté.
»
Christine - 20 février 2024 - 7:42
« Merci Père pour vos paroles d' encouragement.
Mais ô combien difficiles à mettre en pratique dans le quotidien bien triste souvent, quand la vie n'est que soucis.. tracas.. gros problèmes...
Comment pouvous-nous être dans la joie?
'' Priez sans cesse'' .. est-ce peut-être la réponse que nous dit Saint Paul...?
»
Martine - 20 février 2024 - 7:08
« Merci
Alléluia »
Laloux - 20 février 2024 - 6:40
« Merci Père pour ce bel enseignement et encouragement à garder la joie.
Priez pour moi SVP afin que le Seigneur me donne la joie et le délivre de toutes pensées négatives Amen 🙏🕊️
Soyez bénis et Bon Carême 🙏🕊️
Marie de Marseille
»
Marie - 20 février 2024 - 6:28
« Les causes de la tristesse sont multiples. La tristesse consécutive à un deuil, un accident ou bien associée à une grave maladie est, me semble t’il, différente de la tristesse générée par des conditions d’incarcération et/ou par la mélancolie sans motif, par l’insatisfaction La tristesse est aussi une réponse adaptée à une situation traumatisante vécue.
Bien que chaque état de tristesse doit être considéré avec compassion sans tenir compte de son origine, cette méditation mélange les différents états de tristesse pour en donner (avec peu de discernement) un sentiment négatif uniforme à rejeter coûte que coûte. C’est maladroit, culpabilisant et finalement blessant pour les personnes meurtries par un accident ou l’apreté de certaines existences.
J’ose me répéter : la tristesse est aussi une réponse adaptée à des situations traumatisantes vécues.
Bien à vous frère.
»
Vincent - 20 février 2024 - 6:16
« Oui Vincent la tristesse est une émotion qui peut occuper toute la place dans notre coeur . Mais sans la combattre reconnaître sa présence m'a aidée.
Je l'ai déposée devant le Seigneur et je me suis abandonnée à sa grâce pour qu'il m'accompagne aux heures sombres.
Et je peux témoigner de sa présence miséricordieuse tout au long de mes jours et de Son soutien . J'ai lâché prise dans la prière. Et j'ai pû à nouveau connaître la joie simple et profonde de Sa paix.
Je vous confie au Seigneur pour que vous connaissiez cette cette même joie.
Fraternellement. »
KP - 20 février 2024 - 7:22
« Quelque soit son origine il n y a qu un seul mot pour définir ce que nous vivons parfois ou ce que nous vivrons un jour . Notre vie est faite de joies et de peines . La tristesse je la confie à chaque fois à notre Seigneur Jésus Christ , je lui demande de m aider à porter ce fardeau trop lourd pour moi , et je suis à chaque fois émerveillé du résultat. »
François Blin - 20 février 2024 - 8:23
« Bonjour Vincent, merci pour ton commentaire que je trouve juste. Pour moi la tristesse n'est pas une réponse mais une réaction face à une situation qui vient me blesser au plus profond de mon cœur et qui me laisse sans réponse. Par expérience, la réponse me vient toujours plus tard et rarement sur le coup. Merci encore pour ton commentaire réaliste. »
Claude Boudreau - 20 février 2024 - 16:24
« Je suis d'accord avec toi, Vincent, que la tristesse a du sens.
C'est une émotion qui permet de dire adieu, de laisser partir une personne, une situation, un état... Elle nous permet de cheminer dans le deuil de ce qui ne sera plus.
Mais, si elle demeure, elle peut devenir mélancolie, tourment, déprime. Et là, elle perd son sens en se transformant en entrave.
C'est pourquoi il est bon d'accueillir la tristesse, de la sonder, de faire un bout de chemin avec, de lâcher ce qui ne porte plus de vie et puis, d'ouvrir son être à la joie qui sourde dans notre relation avec le Seigneur.
Que le Seigneur te bénisse, Vincent.
»
Stéphanie - 20 février 2024 - 16:45
« Je vais répéter la réponse que j'ai deja fait plus haut : Je suis d'accord avec vous, mais dans les médiations que je propose je parle de la JOIE et de la TRISTESSE dans l'ordre "non-psychologique". Sur ce champs, je pense que nous sommes d'accord. L'émotion de la tristesse est neutre comme toute autre émotion. Elle est aussi importante pour les situations que vous décrivez. C'est vitale.
Mais dans les méditations de cette semaine, j'invite les retraitants de sortir de ce schemat, d'essayer voir la joie ou la tristesse non seulement comme une émotion. Je ne la compare pas non plus a la maladie de dépression - cela est un autre sujet dans lequel je ne suis pas compétent. Pour la tristesse de l'âme ("la tristesse spirituelle" dont parle Ben Sira le Sage, je pense) le vrai remède est la joie - le don du Saint-Esprit. Et Dieu peut et veut nous en sortir. Bon chemin de carême ! »